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Johnny Top News

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Consultation sur le projet d'inversion du pipeline 9B - Seuls les citoyens jugés pertinents pourront participer

Publié par Johnny Top News sur 10 Avril 2013, 20:05pm

Le Devoir 10 avril 2013 | Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement

Consultation sur le projet d'inversion du pipeline 9B - Seuls les citoyens jugés pertinents pourront participer

Les citoyens qui souhaitent participer aux consultations de l’Office national de l’énergie concernant le projet d’Enbridge de transporter du pétrole par pipeline jusqu’à Montréal devront passer au travers d’un processus complexe de sélection et démontrer notamment la « pertinence » de leur éventuelle intervention. Mais pas question de discuter des impacts environnementaux des sables bitumineux, l’organisme fédéral n’entend pas s’y intéresser.

L’Office national de l’énergie (ONE) a publié récemment les règles que devront suivre les individus et les groupes qui souhaiteraient participer aux audiences sur le projet d’inversion du pipeline 9B, qui doit permettre de faire couler 300 000 barils de pétrole brut, notamment albertain, jusque dans l’est de Montréal. Des règles que plusieurs groupes environnementaux ont dénoncées, les qualifiant d’« antidémocratiques ».

Il faut d’abord demander à l’ONE « le droit » de participer au processus, que ce soit pour formuler des « commentaires » ou encore y prendre part en tant qu’intervenant. Pour ce faire, toute personne doit remplir un formulaire d’une dizaine de pages et le faire parvenir par la poste, par messagerie ou par télécopieur à l’Office et à Enbridge avant le 19 avril à midi.

Encore+: http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/375308/seuls-les-citoyens-juges-pertinents-pourront-participer

Pipeline Enbridge: le Vermont craint pour la qualité de l'air

Consultation sur le projet d'inversion du pipeline 9B - Seuls les citoyens jugés pertinents pourront participer

Martin Croteau

La Presse

Mis à jour le 09 avril 2013 à 07h40

Photo: Bernard Brault, archives La Presse

Consultation sur le projet d'inversion du pipeline 9B - Seuls les citoyens jugés pertinents pourront participer

(Ottawa) L'inversion du pipeline d'Enbridge vers Montréal risque d'entraîner une hausse de la pollution atmosphérique des raffineries québécoises. Cet avertissement ne vient pas des autorités fédérales ou provinciales, mais bien de l'État du Vermont.

Le ministère de la Conservation et de l'Environnement craint que l'arrivée dans les raffineries québécoises de 300 000 barils de pétrole albertain par jour pourrait nuire à la qualité de l'air dans «l'État des montagnes vertes».

Le commissaire David K. Mears affirme que les raffineries de Montréal (Suncor) et de Lévis (Ultramar) pourraient augmenter leur production grâce à ce nouvel apport en pétrole. Et si Enbridge achemine du brut lourd dérivé des sables bitumineux, ces établissements deviendraient plus polluants.

«Si le pipeline proposé entraîne une hausse de la production dans les raffineries québécoises et si le brut lourd qui y est traité a une teneur en soufre plus élevée, il y aura potentiellement des hausses de concentrations de dioxyde de soufre, de composés organiques toxiques et d'autres résidus de raffinage sous le vent», a écrit le commissaire dans une lettre à l'Office national de l'énergie (ONE).

Encore+: http://www.lapresse.ca/environnement/201304/08/01-4638863-pipeline-enbridge-le-vermont-craint-pour-la-qualite-de-lair.php

Keystone XL : audience publique au Congrès américain

Mise à jour le mercredi 10 avril 2013 à 18 h 02 HAE

Encore+ Vidéo: Les explications de Tiphanie Roquette

La division continue de régner aux États-Unis, alors qu'un sous-comité de la chambre des représentants s'est penché sur le projet d'oléoduc Keystone XL mercredi, lors de la dernière journée du séjour de la première ministre de l'Alberta, Alison Redford, dans la capitale américaine.

Républicains et démocrates se sont rencontrés pour discuter des retombées économiques du projet de pipeline, des risques environnementaux, de la nécessité du Congrès d'intervenir pour accélérer l'approbation de Keystone XL et de la durée et l'étendue du processus d'approbation du gouvernement fédéral américain.

Keystone XL

Le projet d'oléoduc Keystone XL de TransCanada, évalué à 7 milliards de dollars, permettrait de transporter chaque jour 830 000 barils pétrole brut de l'Alberta aux raffineries du golfe du Texas, selon le ministère américain de l'Énergie. Le pipeline de plus de 1800 km créerait 20 000 emplois, soutient TransCanada.

Diverses opinions ont été exprimées, dont celle de la démocrate Lois Capps, qui craint qu'un nouveau pipeline augmente les risques de déversement dans les communautés situées à proximité du tracé.

Certains républicains présents, comme Steve Scalise, ont toutefois affirmé être convaincus des bienfaits du projet de pipeline. M. Scalise a indiqué qu'il était préférable pour les États-Unis de travailler avec le Canada dans le secteur pétrolier, au lieu d'envoyer des millions de dollars aux pays du Moyen-Orient.

Une visite fructueuse, selon la PM de l'Alberta

Consultation sur le projet d'inversion du pipeline 9B - Seuls les citoyens jugés pertinents pourront participer

La première ministre de l'Alberta, Alison Redford, a rencontré l'ambassadeur du Canada, Gary Doer, (deuxième à partir de la droite) à Washington mardi. Elle était accompagnée de la ministre albertaine de l'Environnement, Diana McQueen, et du ministre albertain
des Relations internationales et intergouvernementales, Cal Dallas.

Photo : Charles Dharapak/Associated Press

La première ministre de l'Alberta a quant à elle affirmé que ses quatre jours passés à Washington lui avaient permis de faire la promotion de Keystone XL dans des endroits clés, comme les bureaux de politiciens.

Des publicités sur le projet de pipeline étaient d'ailleurs publiées dans les grands journaux américains, lors de son passage.

Alison Redford a ajouté qu'elle avait misé sur la création d'emplois aux États-Unis et sur le travail de l'Alberta en matière de protection de l'environnement, notamment les investissements provinciaux pour capturer et stocker le carbone.

Elle a cependant été interrompue mardi, lorsque ses gardes du corps ont dû intervenir pour éloigner une jeune protestataire lors d'un forum public.

Mme Redford a indiqué que si le président américain Barack Obama rejetait le pipeline, les relations entre l'Alberta et ce pays deviendraient « épineuses ».

Le séjour de Mme Redford et de ses deux ministres a coûté environ 34 000 $.

Encore+: http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2013/04/10/007-keystone-xl-audience-publique-redford-washington.shtml

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